Audrey est une talentueuse photographe, et une super maman d’enfant différent. Au-delà de son « combat » quotidien avec les troubles de sa fille, elle a choisi d’aller plus loin et de changer le regard du monde sur le handicap. Un énorme challenge qu’elle mène avec dynamisme, générosité et convictions. Il y a un an, tu nous parlais du projet « photographier l’autisme », ou en est-il aujourd’hui ? Suite à ton article, j’ai été contactée par Olivia Cattan, journaliste et présidente de l’association Sos Autisme France. Elle souhaitait réaliser un projet qui traiterait de différents aspects de société que vivent les personnes autistes. J’ai donc fait plusieurs séries de photos, avec des adultes et des enfants autistes, sur des sujets comme le travail, l’amour et l’école… J’ai rencontré des personnes formidables. Ce projet nous a amené à faire plusieurs expositions (Fondation Good Planète, grilles de l’hôtel de ville de Paris) et nous a emmené à l’Assemblée Nationale. Aujourd’hui,…

En ce joli mois d’octobre, difficile de faire l’impasse sur la sensibilisation au cancer du sein : Octobre Rose. Sujet malheureusement toujours d’actualité, puisque pour avoir de meilleures chances d’en guérir, le dépistage précoce reste l’alternative la plus accessible. Cette année, c’est le projet de la talentueuse photographe Agathe Duffaut qui est mis en avant. Elle a su réunir une super équipe autour de cette cause ! Comment la photographie est entrée dans ta vie ? La photo est venue à moi jeune ado car mon papa adorait la photographie. Il m’avait même offert un livre à l’époque sur la photographie argentique que j’ai encore :-). Mon parcours n’est pas tellement original à vrai dire… Le temps a passé et dès que l’occasion se présentait, je prenais des photos de mon entourage, de mes voyages… le tout avec mon petit compact… autant dire que ce n’était pas l’idéal et qu’au fur et à…

Je vous invite aujourd’hui à découvrir l’histoire d’Amélie, une photographe peu ordinaire. Malgré la maladie, elle travaille chaque jour à garder le sourire en vivant de sa passion pour la photographie. L’histoire d’Amélie À l’âge de 13 ans, on me découvre une maladie neurologique génétique orpheline. Celle-ci s’est généralisée il y a maintenant quatre ans. Elle se traduit par des contractions et des tremblements involontaires des muscles. C’est douloureux à longueur de journée et fatiguant. J’ai dû repenser toute ma vie et mes gestes du quotidien en fonction de ma maladie. Je ne t’ai pas dit son petit nom, parce qu’elle en a un : la dystonie. Dans mon cas c’est une dystonie généralisée avec un torticolis spasmodique. En d’autres termes, elle a atteint mes bras, mes jambes, mon cou et mon ventre. Comme c’est une maladie orpheline, qui ne touche que 60 000 personnes en Europe, il n’y a malheureusement pas de…

Je vous invite aujourd’hui au dépaysement avec les jolis mots et images d’Olivia Fourets. Départ pour La Réunion ! Laissez-vous porter par la prose de cette talentueuse photographe… Ton histoire. Qui es-tu ? Je suis Olivia, j’ai 37 ans. Mariée, maman de Noam et Eva. Photographe, Je vis à l’île de la Réunion d’où je suis originaire. Je suis curieuse de tout, j’aime partir pour des aventures du bout de la rue et de l’ailleurs. Raconter la vie en couleur. Famille unie, Joyeux mariage et Jolies choses. Comment aimes-tu te décrire ? Une personne passionnée, enthousiaste et généreuse. Comment la photographie est entrée dans ta vie ? Enfant, je me souviens avoir vu mon père travaillait dans son labo photo à l’arrière de notre boutique, c’était au temps des films et de l’odeur de la pellicule. Je me souviens des crépitements des flashs et des portraits imprimés sur papier. Du…

Ton histoire. Qui es-tu ? Je m’appelle Fanny, je suis née en Vendée, mais ma famille est Vosgienne et je me sens plus proche des montagnes que de la mer. Aujourd’hui je vis dans un joli petit coin du Beaujolais des Pierres Dorées, c’est une campagne absolument sublime, en toute objectivité. Je vis avec mon homme et nos 4 chats dans une vieille maison en pierre que l’on a (il a) retapé. Je suis une observatrice plutôt discrète et avec une toute petite confiance en moi, j’aime me cacher derrière mon appareil et que l’on me fasse confiance pour faire des photos me fait un bien fou. Comment la photographie est entrée dans ta vie ? La photographie n’est pas entrée dans ma vie… Elle en a toujours fait partie, c’est viscéral. Mais j’ai mis très longtemps à le comprendre par contre… Donc j’ai un peu trainée entre fac de Lettres,…

Ton histoire. Qui es-tu ? Je suis Vanessa, j’ai bientôt 28 ans, je suis photographe de mariage et de portrait. Lorsque j’ai commencé la photo n’était qu’un passe temps et je m’amusais avec un appareil photo compact, puis je suis passée au bridge pour finir avec un reflex il y a 6 ans. Sur les conseils d’un ami, Nicotoulouse  je me suis lancée en tant que photographe professionnelle en 2014. Je sortais à peine des études avec des diplômes en commerce international et information communication qui ne me correspondaient pas. Je n’arrivais pas à m’épanouir car il me manquait quelque chose de créatif ou je pouvais laisser parler mon imagination. À la fin de mes études, sans rien à perdre j’ai donc suivi le conseil de Nico et je me suis retrouvée transportée par ma passion qui était devenue mon métier. Bretonne d’origine, toulousaine d’adoption je vis maintenant à Hamburg…

Découvrez Isabelle, du studio Egerie Photographies Je viens d’avoir 37 ans et je fête cette année mes 8 ans d’activités en tant que photographe portraitiste… Voilà je ne sais plus quoi dire, je suis bien emmerdée à parler de moi, alors je vais te dire ce que l’on dit de moi… On dit que je suis douce et à l’écoute, emphatique et que je déteste les conflits. Je suis parait-il assez têtue, impatiente et une grande stressée, d’une nature directe, ma franchise est parfois déstabilisante. J’ai grandi seule avec ma maman, que j’ai perdue il y a 10 ans. Ma famille : mon mari et mon fils sont les joyaux de ma vie. J’ai crée mon studio photo tout de suite après mes études, que j’ai réalisé en faculté d’arts plastiques où j’ai validé un double master. De 2010 à 2017 mon studio était en appartement à Lyon dans le…

Je m’appelle Chloé Perez, j’ai posé mes valises à Grenoble, je suis maman d’un petit bonhomme, j’entame ma 4ème dizaine, et je me définis comme photographe de vie. Comment la photographie est entrée dans ta vie ? Très jeune en fait. Mon tout premier appareil, c’était un Kodak disc, avec des pellicules circulaires, et je devais avoir 7-8 ans. Adolescente, je piquais le minolta X-700 de mon père. Mais c’est au lycée que tout a vraiment commencé, en découvrant le labo photo. Coup de foudre. Je sais ce que je veux faire. S’ensuivent alors des études de photographie au Québec, mon pays natal, puis différents jobs (magasin photo, labo photo etc…) jusqu’à faire le grand saut et me lancer dans la prise de vue et la photographie sociale il y a 5 ans. Es-tu portrait ou paysage ? Mon format de prédilection, vraiment, c’est le format carré. La construction de…

C’est le nerf de la guerre, nous voulons tous être visibles sur les réseaux sociaux ! Seulement à force de partager tout et n’importe quoi, et surtout à force de vouloir vendre une prestation à chaque publication, notre visibilité diminue. D’une part, les socionautes se lassent, ils ont la sensation de ne voir que des pubs, et d’autre part les réseaux sociaux (notamment Facebook et Instagram) durcissent leurs algorithmes pour ne pas perdre leurs utilisateurs. Comment communiquer sur les réseaux sociaux ? Comme son nom l’indique, un réseau social a pour vocation de créer du lien, d’interconnecter les gens entre-eux (« social »). C’est la même chose avec les marques et les entreprises. Les réseaux sociaux ont cassé les barrières. Le discours n’est plus dans un seul sens, les socionautes veulent de la transparence, connaître l’envers du décors, donner leur avis, échanger avec les personnes qui ont les mêmes intérêts, ou vécus…

Je m’appelle Ludivine. Je suis photographe depuis 2010. Actuellement, je suis sur la région Avignonnaise mais cet été je pars sur la région Nîmoise. Encore une nouvelle aventure qui m’attends… Mais rien ne me fait peur, j’aime les challenges ! Comment la photographie est entrée dans ta vie ? Je me revois, petite, avec ma grand-mère à éplucher les albums photos de mes ancêtres… Mais c’est seulement à 13 ans que j’ai voulu en faire mon métier. Mes parents pensaient que c’était un métier bien trop risqué (ce qui n’est pas totalement faux), du coup ils m’ont poussé à avoir un vrai diplôme (j’ai donc un bts assistante de gestion pme pmi, ce qui est très utile dans mon quotidien professionnel). C’est à 26 ans que j’ai décidé de tenter l’aventure, j’ai pris un tout petit risque vu que j’avais un autre métier à côté. J’ai alors commencé à me…

Je suis Jérémy Legris, 34 ans. Je suis marié et père de deux adorables amours : Maxime et Emma. Grenoblois depuis toujours, je ne quitterais pour rien au monde ces randonnées en montagne, ces sommets enneigés pour la pratique du ski et ces paysages absolument magnifiques. Mais, je suis surtout un amoureux de la photo et plus particulièrement de la photo de Portrait. Comment la photographie est entrée dans ta vie ? Ma rencontre avec la photo est plutôt atypique. Dans la plupart des cas, l’amour pour la musique, la photo, le dessin ou toutes autres formes d’arts est transmise par un proche. Vous grandissez avec, vous l’observez, l’imitez pour vous forger votre propre vision. Dans mon cas, il n’y a rien eu de tout ça. Je n’étais pas plus destiné à faire de la photo qu’à devenir astronaute (oui, je sais, c’est le rêve de tout gamin et je n’y ai pas…

Ton histoire. Qui es-tu ? Hello! Je suis Malvina et je n’aime pas écrire… voilà c’est fait. Je ne connais aucune formulation de présentation qui ne soit pas pompeuse donc le mieux pour me connaître est de savoir ce qui me fait vibrer, tout le reste n’est que circonstances de la vie. Comment aimes-tu te décrire ? Creative junkie revient souvent. J’aime créer et peu importe le media: photo bien sûr mais aussi tricot, cuisine, peinture, inventions inutiles ou utopiques. Comment la photographie est entrée dans ta vie ? Ce sont lors de voyages de classe que j’ai commencer à faire de la photo. Après de nombreuses années avec un jetable, mon père a finalement accepter de me prêter son reflex. Grâce à ça, j’ai pu expérimenter et jouer avec ce que j’en voyais et ressentais. Ton style. Portrait ou paysage ? Majoritairement en format paysage simplement parce que notre…